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Alex Mitrecey

(1990), France

Publicitaire, peintre et musicien, Alex est un conteur d’histoires à pixel, à plume et à pinceau. Sa démarche artistique conçoit la peinture comme une grande cour de récréation, où il peut rendre hommage à ses artistes préférés tels que Basquiat, Dubuffet et Picasso.

“À six ans, je croque sur la liste des courses de papa. Entre l’amande douce et les pains suédois, un visage désarticulé rejoint ses complices dans le coin des petits suisses.

À vingt ans, je dessine sur tout et n'importe quoi. Surtout sur n'importe quoi. Les magazines maltraités, les Moleskin molestés. Tout ce qui respire l'urgence et le chaos.

À vingt-cinq ans, mon studio se transforme en cours de récré. Sur mon vieux tapis d'enfance, qui a connu les joies des petites voitures pétantes, circulent désormais des pots et des pinceaux à rebrousse-poil.

À trente-trois ans, je roule à pleine turbine. Je crache à pleins poumons mes délires acryliques. Entre accidents et sorties de route volontaires, la peinture se fracasse sur le bois et remplit peu à peu les visages sculptés par le feutre noir.”

Alex Mitrecey | © 2024 saïdelhabibi artgallery
Alex Mitrecey dans son studio

Publicitaire, peintre et musicien, Alex est un conteur d’histoires à pixel, à plume et à pinceau. Sa démarche artistique conçoit la peinture comme une grande cour de récréation, où il peut rendre hommage à ses artistes préférés tels que Basquiat, Dubuffet et Picasso.

“À six ans, je croque sur la liste des courses de papa. Entre l’amande douce et les pains suédois, un visage désarticulé rejoint ses complices dans le coin des petits suisses.

À vingt ans, je dessine sur tout et n'importe quoi. Surtout sur n'importe quoi. Les magazines maltraités, les Moleskin molestés. Tout ce qui respire l'urgence et le chaos.

À vingt-cinq ans, mon studio se transforme en cours de récré. Sur mon vieux tapis d'enfance, qui a connu les joies des petites voitures pétantes, circulent désormais des pots et des pinceaux à rebrousse-poil.

À trente-trois ans, je roule à pleine turbine. Je crache à pleins poumons mes délires acryliques. Entre accidents et sorties de route volontaires, la peinture se fracasse sur le bois et remplit peu à peu les visages sculptés par le feutre noir.”

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Alex Mitrecey - Blue (Da Ba Dee) | © 2024 saïdelhabibi artgallery